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jeudi 26 avril 2012

Steam arrive sous Linux


Après un portage sous Mac OS X, Steam pourrait arriver sous Linux rapidement. Concrètement, Valve a porté le moteur 3D Source et bien évidemment le magasin ligne sous Linux, et le premier jeu qui devrait arriver en natif est Left 4 Dead 2, un FPS avec des zombies. Comme sous Mac OS X, c'est évidemment Open GL qui est utilisé pour le rendu 3D, et comme sous Mac OS X, il faudra que chaque jeu soit adapté pour tourner en natif, une étape qui est fortement simplifiée quand le moteur de rendu est disponible.
Reste à vérifier les performances et la compatibilité avec les différentes distributions. L4D2 a été montré sous Ubuntu 11.10 avec un GPU AMD (et les pilotes Catalyst Linux) et la compatibilité avec d'autres pilotes ou GPU n'a pas été évoquée, même si on peut évidemment supposer que les GeForce seront prises en charge. Pour les performances, l'exemple de Mac OS X (encore) est édifiant : les jeux Steam sont dans la majorité des cas nettement plus rapides sous Windows que sous Mac OS X, essentiellement à cause des pilotes peu optimisés d'Apple.
Pour les adeptes de l'OS au manchot, c'est évidemment une bonne nouvelle. Et on peut espérer que — comme sous Mac OS X —, un jeu acheté avec Steam « Windows » soit disponible sans surcoût sous Linux. 

Opera 12 bêta : une version majeure, le plein de nouveautés


Opera vient de publier la bêta de son navigateur en version 12. Cette mouture est particulièrement importante pour l'éditeur et est en développement depuis plusieurs mois déjà. Au programme, des évolutions majeures tant pour les composants internes que pour les fonctionnalités.
Opera 12 sera la première mouture du navigateur à être officiellement disponible en 64 bits pour Windows et Mac OS X. bien que cela ne soit pas forcément important en termes de performances, le navigateur est prêt pour des plateformes qui ne proposeront plus que cette architecture dans le futur.
Opera annonce également que les performances sont à la hausse, aussi bien pour le temps de démarrage du navigateur que pour le rendu des pages web. L'éditeur indique en outre que la réactivité lors des manipulations d'onglets a été améliorée.
L'autre grande nouveauté est le déplacement des plug-ins dans une autre zone mémoire. Cela concerne donc des technologies comme Flash ou Silverlight. L'intérêt est simple : si le plug-in vient à planter, il ne doit pas entraîner le reste du navigateur avec lui. Une manière de booster la stabilité générale d'Opera.
Opera 12 peut également gérer des thèmes, à la manière de Firefox et de Chrome :Parmi les autres améliorations, on trouve :
- Une modification de l'affichage des étiquettes de sécurité pour les sites bénéficiant de certificats. Un changement à rapprocher à l'annonce récente de Mozilla, bien qu'Opera dégaine le premier.
- De nouvelles API pour les extensions qui pourront désormais manipuler les onglets, créer des groupes, gérer les fenêtres ou encore accéder à la webcam de l'ordinateur.
- Ajout de quatre nouvelles langues pour la lecture de droite à gauche, dont l'arabe.
- Support expérimental de WebGL pour l'accélération graphique

Flickr : un nouvel « Uploadr » plus performant et des photos jusqu'à 50 Mo


Via son blog officiel, Flickr vient de publier une mise à jour de son application pour Android, et d'annoncer la mise en place d'une nouvelle version de son « Uploadr », un outil pour ajouter des photos sur votre compte. Ce dernier est annoncé comme étant plus rapide, plus intuitif et vous permet de transférer des photos pouvant peser jusqu'à 50 Mo.
Cette taille est par contre réservée aux comptes Pro, pour ceux qui disposent d'un compte gratuit elle est limitée à 30 Mo par photo, ce qui reste tout de même très raisonnable et qui devrait convenir à la plupart des utilisateurs.
La société précise qu'elle utilise certaines fonctionnalités liées à l'HTML 5 avec, par exemple, la possibilité d'effectuer un glisser / déposer de vos photos directement dans le navigateur. De plus, vous avez également la possibilité de réorganiser vos photos afin de les mettre dans l'ordre dans lequel vous souhaitez qu'elles apparaissent dans votre galerie.
De plus, il est désormais plus facile d'ajouter une description, un titre et des tags à vos différentes images. Vous avez ensuite la possibilité de modifier la licence, le type de contenu ainsi que diverses options avancées, et ce, directement depuis la page de chargement et donc avant de publier vos photos.
Flickr précise que les navigateurs à partir de Chrome 6, Firefox 8 et Safari 5 sont pris en charge, mais aucune précision n'est apportée concernant Internet Explorer.

Google Drive sera profondément intégré dans Chrome OS


Malgré ses ambitions dans le domaine des systèmes d'exploitation, Google ne communique que peu sur son Chrome OS. Pourtant, la firme a récemment présenté les gros changements en préparation pour l'interface « Aura ». Dans une interview accordée à Wired, Google a également confirmé un autre gros ajout prévu : l'intégration complète de Drive.
Google Drive « intégré dans le système de fichiers »
Chrome OS est le système d'exploitation que Google réserve pour les ordinateurs « classiques », en particulier les portables. Reposant sur une base Linux, il propose essentiellement sur des applications web et le navigateur Chrome. De fait, l'inclusion du service de stockage distant Drive est une suite logique. Et dans le cas de Chrome OS, l'intégration sera particulièrement profonde.
À partir de la version 20 de Chrome OS (la nomenclature suit celle de Chrome), Google Drive sera donc présent nativement dans le système. L'utilisateur aura alors le choix de définir l'espace disque local ou distant par défaut pour stocker et ouvrir des documents. Exemple : lorsque Chrome télécharge un fichier, il pourrait proposer directement un dossier dans Drive plutôt qu'un dossier local. Idem pour la fonction Ouvrir de Google Docs.
C'est Scott Johnson, responsable Google Drive, qui en a donné la confirmation : « Nous allons effectivement intégrer Drive dans le système de fichiers de Chrome OS. Toutes les fonctionnalités clés du système utiliseront Drive comme espace de stockage des données, si c'est ce que l'utilisateur souhaite ».
Google Drive vise avant tout les applications
La grande carte à jouer pour Google Drive passe sans doute par son kit de développement (SDK). Wired souligne ainsi le cas du service RocketSlide de VMWare qui permet de réaliser des présentations à la manière de PowerPoint. RocketSlide est déjà compatible avec Google Drive. 

Les ventes de tablettes vont doubler en France cette année


Il s'en vendra autour de 3 millions, estime GfK. Elles ont tendance à remplacer les netbooks vieillissants dans les foyers.
Le succès des tablettes tactiles en France ne se dément pas. En 2012, il s'en vendra autour de trois millions, selon les projections de l'institut GfK livrées jeudi, soit deux fois plus que l'an dernier. Le rythme a déjà été soutenu sur les trois premiers mois de l'année, d'habitude peu favorables aux produits électroniques, avec 232.000 unités vendues.
En deux ans, les tablettes tactiles ont su gagner leur place dans les foyers français, ce qui n'était pas joué d'avance. Lors de la sortie du premier iPad d'Apple, qui a véritablement lancé cette catégorie au printemps 2010, les tablettes semblaient coincées entre les smartphones et les baladeurs vidéo d'un côté, et les ordinateurs portables de l'autre.
Finalement, leur usage se rapproche de celui des petits PC, les netbooks, qu'elles ont tendance à remplacer et dont les ventes s'effondrent. Elles sortent peu souvent du domicile (19%), se connectent à Internet en WiFi et ont le plus souvent (78%) un écran de plus de 9 pouces (22,5 centimètres). Grâce à la floraison d'applications, «tous les contenus ont trouvé leur place sur ces nouveaux appareils», remarque GfK. «On observe une répartition équilibrée entre tous les types d'utilisation: 19% du temps passé est ainsi réservé au jeu vidéo, 16% au visionnage de vidéo et 15% à l'écoute de musique», détaille l'étude.
Si GfK constate que les propositions des fabricants «restent diversifiées pour s'adresser à tous les niveaux de caractéristiques techniques et de prix», Apple dicte encore sa loi sur le marché. Il a capté plus des deux tiers des ventes en Europe en 2011, et a notamment raflé plus de 80% du marché des tablettes de plus de 400 euros. Au total, Apple a vendu 67 millions d'iPad dans le monde en deux ans.

Samsung officialise l'Exynos Quad 4, le SoC de son Galaxy SIII


Samsung vient de légèrement modifier son offre concernant sesSoC et le constructeur coréen semble vouloir initier un peu de marketing autour de ses puces. La gamme Exynos est dorénavant affublée de noms commerciaux, remplaçant au passage les références alphanumériques. En outre, le fabricant confirme la présence d'une puce au sein du Galaxy SIII.
En effet, les Exynos 4210 que l'on trouvait sur certains Galaxy SII (mais pas tous) portent désormais le nom d'Exynos Dual 4 alors que la prochaine génération, que l'on attend notamment sur le Galaxy SIII ou encore sur la Galaxy Note 10,1, portera le nom d'Exynos Quad 4, ce qui est autrement plus sexy que Exynos 4412, vous en conviendrez. Non ?
Fin du suspens, l'Exynos Quad 4 sera dans le Galaxy SIII
Pour rappel, ce nouveau System on Chip dispose donc de quatre coeurs ARM Cortex-A9, qui sont cadencés à 1,4 GHz, et Samsung utilise un procédé de fabrication en 32 nanomètres HKMG-LP, ce qui lui permet de consommer jusqu'à 20 % de moins par rapport à la génération précédente.
On notera que le Coréen indique « Déjà en production, l'Exynos 4 Quad est prévu pour être adopté dans le prochain smartphone Galaxy qui sera officiellement annoncé en mai. L'Exynos 4 Quad est aussi échantillonné chez d'autres fabricants de téléphones. ». Voilà une confirmation de moins à attendre la semaine prochaine pour le Galaxy SIII. 
Une définition maximale de 1366 x 768 pixels 
Par contre, un détail nous chagrine. Samsung fait une mention d'une « définition maximale supportée de 1366 x 768 pixels pour l'écran natif », ce qui voudrait indiquer, si cette puce est celle qui équipera la future Galaxy Note 10,1... elle sera limitée à du 1280 x 800 pixels, comme le constructeur l'avait indiqué en février dernier.

Résultats catastrophiques de Nintendo en 2011-2012


Nintendo a achevé l'année dans le rouge, sur un déficit net de 43,20 milliards de yens (425 millions d'euros), même si un léger mieux a été constaté en fin de période, notamment au moment des fêtes de Noël, a annoncé le groupe japonais, jeudi 26 avril.
Ce résultat est dû à une chute de 36,2 % de son chiffre d'affaires, à 647,65 milliards de yens (6,4 milliards d'euros), et à une perte d'exploitation de 37,32 milliards, en raison de méventes de ses produits, d'une baisse de prix des consoles pour attirer les clients et de la flambée concomitante de la monnaie japonaise. Pour Nintendo, qui encaisse 77 % de ses recettes hors du Japon, les variations, mêmes minimes, des cours des changes, ont un impact important sur ses comptes.
Le groupe a vendu 5,85 millions de consoles portables 3DS au Japon depuis son lancement, le 26 février 2011, (dont 4,79 millions durant la période budgétaire considérée) et 11,3 millions à l'étranger (8,7 millions au cours de l'exercice). Nintendo n'a de fait pas atteint ses objectifs, d'autant moins qu'ils les avaient abaissés durant l'année. La précédente portable de Nintendo, la DS, s'est écoulée à plus de 150 millions d'exemplaires dans le monde, toutes versions confondues.
CONCURRENCE ACCRUE DANS LE JEU MOBILE
Les mauvaises performances initiales ont de fait rejailli sur les ventes de cartouches de jeu. Alors que le groupe a écoulé 36 millions de jeux 3DS produits par lui-même dans le monde l'an passé, il espère en vendre le double dans les douze mois, d'avril à mars prochain, sans compter 37 millions de jeux pour les autres types de consoles de poche DS. Dans le secteur du jeu mobile, Nintendo doit faire face à la concurrence accrue des terminaux mobiles, smartphones et tablettes. Selon le site VG Chartz, Sony a également écoulé près de 2 millions d'exemplaires de sa nouvelle console portable, la PS Vita.

Sécurité : Firefox 14 n'affichera plus les favicon dans la barre d'adresses


Mozilla a annoncé récemment son intention de supprimer la favicon des sites au sein de la barre d'adresses de Firefox. La raison en est simple : la sécurité.
La favicon est une petite icône servant d'identifiant visuel pour un site. Elle s'affiche à gauche de la barre d'adresse :

Lorsqu'un site dispose d'une connexion sécurisée, comme dans le cas des banques notamment, la zone s'étend sur la droite pour le signaler. On peut alors cliquer sur cette zone pour afficher des informations complémentaires :Seulement voilà, certains sites se servent de la favicon pour tenter de tromper l'utilisateur. L'objectif est d'afficher une icône dont la couleur et le symbole laissent penser que la connexion est sécurisée alors qu'elle ne l'est pas. Très « utile » dans les cas de phishing quand on veut faire croire à l'internaute qu'il est sur le véritable site d'une banque.
Prévue normalement pour Firefox 14, attendu pour juillet, la modification aura des conséquences sur l'affichage des sites sécurisés. Dans le cas idéal d'un site utilisant des certificats SSL avec Extended Validation, un cadenas vert apparaîtra, suivi du nom du possesseur du certificat :

Dans le cas d'un certificat SSL sans Extended Validation, le cadenas sera gris et le possesseur du certificat ne sera plus indiqué :

Enfin, pour la grande majorité des sites qui n'ont aucun certificat SSL, Firefox n'affichera qu'un globe terrestre générique :

Si cette signalétique vous rappelle vaguement quelque chose, c'est qu'elle existe déjà en partie sur Chrome : le navigateur de Google se sert des symboles cadenas et globe pour différencier les sites sécurisés et classiques.  

Samsung : le graveur DVD le plus fin du monde


Avec l'émergence des ultrabooks, de plus en plus d'ordinateurs portables abandonnent le lecteur optique. Et si ce dernier est de moins en moins utilisé, il arrive parfois qu'on n'ait pas le choix. Samsung propose donc depuis plusieurs années une gamme de lecteurs optiques externes compacts. Le dernier modèle, le SE-218BB, est même « le plus fin du monde » selon Samsung.
Les spécifications sont classiques : un tiroir (dommage), un câble USB pour l'alimentation, 1 Mo de mémoire cache. Le graveur écrit les CD-R et CD-RW en 24x, les DVD+R et DVD-R en 8x, les DVD-RAM en 5x, les DVD+R DL et DVD-R DL en 6x, les DVD+RW en 8x et les DVD-RW en 6x.
Le lecteur optique mesure 148 x 14 x 144 mm et pèse 255 grammes. Avec 14 mm d'épaisseur, c'est donc sûrement — comme le clame Samsung — le plus fin du monde. Samsung indique qu'il est possible de lire un DVD avec une tablette sous Android 3.1 (si elle possède évidemment un port USB) et le prix attendu est de 60 $ (et normalement moins de 50 € en France). 

lundi 23 avril 2012

Microsoft: record de chiffre d'affaires grâce aux produits pros


Les serveurs et les logiciels professionnels ont dopé les revenus de Microsoft au dernier trimestre, tandis que Windows s'est bien défendu, malgré un marché du PC atone.



Microsoft a publié jeudi un bénéfice de 5,11 milliards de dollars au troisième trimestre de son exercice décalé, en repli de 2% sur un an mais resté meilleur que prévu et assorti d'un chiffre d'affaires "record" pour cette période de l'année. Rapporté au nombre d'actions, le bénéfice revient à 60 cents, contre 58 attendus par les analystes.
Le chiffre d'affaires, tiré par les produits professionnels, s'affiche en hausse de 6% à 17,41 milliards de dollars, au-delà des 17,18 milliards qu'attendait le marché. La division des serveurs a enregistré un bond de 14% de ses ventes à 4,57 milliards de dollars, et celle des logiciels professionnels, la plus grosse du groupe, de 9% à 5,81 milliards de dollars.
Avant la sortie commerciale attendue dans le courant de l'année du système d'exploitation Windows 8, qui devrait susciter des ventes solides, ces chiffres ont été jugés de bon augure par le marché. L'action prenait 2,68% à 31,84 dollars dans les échanges électroniques après la clôture de la Bourse à New York.
En dépit de la mollesse du marché des ordinateurs, la branche des logiciels Windows a progressé de 4% à 4,62 milliards de dollars, restant sur la lancée du succès de Windows 7, sorti en 2009.
En revanche la division des jeux et appareils a chuté de 16%, à 1,62 milliard de dollars, victime du marasme du secteur des consoles, même si la XBox 360 est restée leader sur le marché américain.
"Nous nous dirigeons vers des lancements enthousiasmants dans tout le groupe, tout en dégageant de solides résultats financiers", a souligné le directeur général Steve Ballmer, cité dans un communiqué. "Avec la prochaine sortie d'ordinateurs et de tablettes sous Windows 8, la prochaine version d'Office, et une large gamme de produits et services pour les entreprises et le grand public, nous fournirons à tous nos clients une valeur exceptionnelle dans l'année qui vient", a-t-il ajouté.

Google: un nouveau dispositif pour pousser la pub vidéo sur YouTube


Le moteur de recherche intègre la gestion des publicités vidéo à sa plateforme Google Adwords, afin d'encourager les petits annonceurs à s'emparer de ce média.


Google lance officiellement AdWords for Video, après huit mois de test. L'idée est de "démocratiser" la publicité vidéo, surtout utilisée par les gros annonceurs. En intégrant la possibilité de gérer des publicités vidéo dans la console Adwords (l'interface de gestion des campagnes de liens sponsorisés sur Google), il devient possible pour les petits annonceurs de télécharger simplement une vidéo, de définir une cible (géographique, démographique...) et d'enchérir pour diffuser leur publicité sur YouTube. Le spot peut apparaître selon les mots clés tapés par les visiteurs, ou à côté de contenus spécifiques.
L'annonceur ne paie que si l'internaute voit sa vidéo en entier. Grâce au système TrueView, qui permet de passer une vidéo si on ne veut pas la regarder, Google est en effet en mesure de fournir cette information à l'annonceur.
YouTube enregistre 800 millions de visiteurs uniques par mois dans le monde, mais ses revenus ne pèsent pas autant que son audience dans les résultats de Google. Ils pourraient dépasser le milliard de dollars cette année, alors que le chiffre d'affaires annuel du groupe, pour le dernier exercice, s'élevait à 37,9 milliards. Google espère que l'intégration dans Adwords lui permettra de toucher une nouvelle cible d'annonceurs et de monétiser une plus grande part de son inventaire.

Toshiba rachète à IBM ses solutions pour les acteurs du commerce

Le groupe japonais a racheté à IBM 80,1% des parts de sa division informatique pour la distribution, qui comprend les caisse enregistreuses et les systèmes informatiques pour les commerces.


Toshiba compte bien développer ses produits destinés aux commerces. Le conglomérat industriel japonais a annoncé mardi l'acquisition, pour 850 millions de dollars, de 80,1% des parts d'une division informatique pour le secteur de la distribution, dont les caisses enregistreuses, au groupe américain IBM. Cette transaction, réalisée par Toshiba Tech, devrait être effective en juin ou juillet, et le groupe japonais envisage d'acquérir par la suite les 19,9% restants, précise le communiqué.
"Grâce à ce rachat, Toshiba Tech va proposer des systèmes haut de gamme aux commerces aux Etats-Unis, en Europe, au Japon et en Asie, régions où existe un fort potentiel de croissance du marché", s'est félicité Toshiba.
Le groupe japonais prévoit pour ce faire de créer de nouvelles sociétés dans divers pays pour développer plus largement une activité dans laquelle il jouit déjà d'une solide expérience au niveau régional.
La division IBM Retail Store Solution, qui comprend aussi des missions de conseil et de maintenance, emploie 1000 personnes. Elle a totalisé un chiffre d'affaires de 1,15 milliard de dollars au cours de l'année budgétaire 2011. "Les systèmes informatiques pour les commerces ne se limitent pas aux seules caisses enregistreuses, ils comprennent aussi les outils pour combiner les magasins réels et virtuels via l'utilisation d'internet, un domaine qui est appelé à croître", a commenté le PDG de Toshiba Tech cité dans un communiqué.
Ce rachat s'inscrit dans un mouvement d'acquisition de sociétés étrangères par les entreprises japonaises qui profitent de la force de la monnaie nippone et des incitations financières de l'Etat en ce sens.



Guerre des brevets: Apple et Samsung forcés de discuter

Les patrons des deux groupes vont tenter de parvenir à une solution négociée, dans la guerre des brevets qui les oppose. Ils y sont obligés par un juge.



Les patrons d'Apple et Samsung doivent se rencontrer dans les trois mois pour voir s'ils peuvent trouver un accord surl'utilisation de brevets sans aller au procès. Sur l'ordre d'un tribunal fédéral de San Francisco, Tim Cook pour Apple, et Gee-Sung Choi pour Samsung, doivent participer à des discussions qui seront menées par un juge, selon des documents de justice consultés sur le blog spécialisé dans les questions de brevets, Foss Patents.
"Les parties ont indiqué qu'elles étaient disposées à participer à une Conférence de règlement", a indiqué la juge fédérale Lucy Koh dans une décision mise en ligne. "Donc les parties sont renvoyées devant le juge Joseph Spero dans un délai de 90 jours".
Mme Koh est chargée de deux procédures opposant les deux groupes, et leur a demandé de faire des efforts honnêtes pour trouver une solution avant que débute un procès, le premier étant prévu pour juin.
Apple et Samsung, qui fabrique des tablettes et des téléphones utilisant le système d'exploitation Android développé par Google, ont lancé des contentieux liés à leurs brevets respectifs dans près d'une dizaine de pays.

Energies renouvelables: Yahoo, Google et Facebook montrent l'exemple


Greenpeace a épinglé Microsoft, Apple et Amazon à propos de leurs data centers, dénonçant un large recours aux énergies sales. A l'inverse, Facebook, Google et Yahoo sont considérés comme les bons élèves.



Le stockage de données est donc mauvais pour la planète. Y compris lorsque vous faites appel à un service de "cloud computing". Selon Greenpeace,Amazon, Microsoft et Apple ont ainsi "largement recours aux énergies sales" pour leurs services dématérialisés, les bons points ayant été distribués à Facebook, Google et Yahoo. L'organisation écologique a publié mardi un rapport dans lequel elle note les comportements des géants des nouvelles technologies dans la gestion de l'informatique dématérialisée, ces services permettant aux internautes de stocker leurs données ou programmes en ligne.
Car si ces données ne sont plus stockées sur les ordinateurs ou smartphones des particuliers, elles le sont dans des "data centers (centres de données), qui abritent des milliers d'ordinateurs qui stockent et gèrent toutes les données prêtes-à-consommer que nous accumulons", note Greenpeace dans le rapport. Or, ces centres de données "consomment une très grande quantité d'électricité: l'équivalent d'environ 250 000 foyers européens pour certains d'entre eux", poursuit le rapport.
Amazon, Apple et Microsoft, trois entreprises américaines, "n'accordent pas suffisamment d'attention à la provenance de l'électricité qu'elles consomment et continuent d'avoir largement recours aux énergies sales pour alimenter" ces services dématérialisés, affirme Greenpeace. "Il ne s'agit pas de clouer (ces entreprises) au pilori, nous essayons de les pousser dans la bonne direction", a expliqué à l'AFP Casey Harrell, un responsable de Greenpeace. "On adore nos iPhone, ils nous facilitent la vie, mais ils ne doivent pas rendre les choses plus difficiles pour la planète".
Yahoo et Google continuent en revanche "de montrer l'exemple", tandis que Facebook "est désormais l'ami des énergies renouvelables", selon le rapport. Le réseau social "a fait le premier pas dans la bonne direction avec la construction d'un data center, en Suède, pouvant être entièrement alimenté par des énergies renouvelables".



L'introduction de Facebook en Bourse aurait lieu le 17 mai


C'est la date qui aurait été fixée, selon les informations de TechCrunch.



Facebook aurait fixé la date du 17 mai pour son introduction en Bourse, d'après le site spécialisé TechCrunch, qui dit avoir recoupé l'information auprès de plusieurs sources proches de l'entreprise. Sous réserve, bien entendu, que la SEC considère que tous les documents légaux soient en règle.
La valorisation attendue est toujours d'une centaine de milliards de dollars. La cote serait d'environ 40 dollars.
Facebook devrait être coté sur le Nasdaq.

Le cloud computing


Le cloud computing, ou informatique "dans le nuage", est partout. Mais ce concept informatique est encore vague pour le grand public.



Cette année, les "Microsoft Tech Days", grande manifestation organisée par le groupe pour les professionnels du numérique, étaient placés sous le signe du cloud computing, aussi appelé "informatique dans le nuage". Un phénomène qui prend de plus en plus d'ampleur dans les entreprises, et que le grand public commence à connaître sous la forme de services de stockage à distance, ou encore de musique en streaming. Le cloud est sur toutes les lèvres, y compris celles d'Eric Besson qui a lancé en janvier un appel à projets autour du cloud dans le cadre du grand emprunt.
Bernard Ourghanlian est directeur technique et sécurité deMicrosoft France, qui possède aujourd'hui 31 000 clients à ses services cloud Windows Azure dans le monde. Pour Lexpansion.com, il explique ce qu'est le cloud, et à quoi ça sert.
Comment définissez-vous le cloud computing ?
Le grand public utilise depuis longtemps le cloud computing sans le savoir. Quand on utilise son webmail, Hotmail, Gmail ou autre, on fait du cloud. Le cloud computing, c'est accéder à des ressources informatiques qui sont quelque part, à travers internet. On peut y avoir accès gratuitement, comme c'est le cas avec le webmail. Ou sur abonnement, avec un niveau de service garanti. Les entreprises achètent ainsi des capacités, et sont facturées un peu comme le sont l'eau, le gaz ou l'électricité: on paye à la consommation. Comme le courant électrique, on peut consommer autant qu'on veut. Virtuellement, la puissance est infinie.
Peut-on dire que le cloud computing est une révolution pour l'informatique ?
C'est une révolution économique, mais pas technologique. Car il repose sur des technologies établies depuis longtemps.
Quel est l'intérêt du cloud computing ?
Il est surtout économique. Si on est une très petite entreprise, cela permet de lancer un service sans aucun investissement capitalistique en hardware. Ainsi, pratiquement plus aucune start-up du logiciel n'investit dans du matériel lourd, aujourd'hui. Le deuxième avantage, c'est de pouvoir bénéficier d'économies d'échelle qui ont une répercussion économique. Par exemple, les ressources informatiques qui ne sont pas utilisées par les entreprises françaises la nuit, le sont par des entreprises à l'autre bout de la planète. C'est un peu comme une usine qui tournerait 24 heures sur 24, et dont les ressources sont partagées. Cela permet par exemple à des entreprises comme les e-commerçants, qui ont un pic de charge à Noël et beaucoup moins de charge le reste de l'année, d'avoir les ressources nécessaires pendant ce pic sans investir dans des capacités qu'elles n'utiliseraient pas le reste de l'année. C'est comme ça qu'Amazon s'est lancé dans les services de cloud computing au départ. Ils avaient investi dans des capacités énormes et ont cherché à les amortir.
Que nous permet de faire le cloud, que l'on ne pouvait pas faire avant ?
Par exemple, préserver le contexte quand on change de terminal. Exemple : vous commencez un jeu du Xbox Live sur votre console Xbox, et vous continuez à jouer sur votre téléphone mobile.
Où se trouvent ces ressources informatiques, qui ne sont plus en local ? Certaines sont-elles en France ?
Elles ont beau être "dans le nuage", elles sont bien sur Terre, dans des datacenters géants qui font une bonne dizaine de fois la taille d'un terrain de football, et qui sont remplis de machines. Chez Microsoft, deux datacenters sont actuellement en cours de construction. Nous en possédons un en Europe, à Dublin, qui a coûté 500 millions de dollars, et nous avons un backup à Amsterdam, que nous louons à des hébergeurs. Plus un datacenter est loin de l'utilisateur, plus le temps de réponse est long. On sait augmenter la bande passante mais pas diminuer le temps de latence des requêtes. Pour le grand public, en gros seules des messageries sont hébergées en France.
Le problème, c'est que les données sont détenues par un petit nombre d'entreprises, et que l'accès repose sur le maintien d'une connexion internet.
Les grands acteurs du cloud sont en effet peu nombreux. Google, Amazon, Microsoft, Salesforce. Pour plus de sécurité, pour les entreprises, il existe des clouds privés, qui ne sont pas partagés. L'objectif est d'avoir les mêmes bénéfices, mais de garder le contrôle de son environnement. Ce type de services est proposé par de nombreux acteurs, comme les hébergeurs, IBM...
En ce qui concerne le grand public, est-ce possible de savoir où se trouvent les données stockées ?
L'internaute lambda ne peut pas savoir. Ces données peuvent aussi bouger. Aucun engagement n'est pris à ce niveau là vis-à-vis du grand public.
Le grand public peut-il lui aussi cadenasser ses données dans un espace privé, un coffre-fort numérique ?
Ce genre de services existe. Pour être sûr que personne ne puisse y accéder, y compris le fournisseur, il faut chiffrer les données. Ainsi, seul l'utilisateur a les clés de son coffre. Tant que l'on veut stocker des données privées, cela fonctionne. Mais les copies de clés à grande échelle, aujourd'hui on ne sait pas faire. Si on veut partager et collaborer, autoriser un grand nombre de personnes à effectuer des recherches dans un champ de données chiffrées (en entreprise par exemple), ce n'est pas possible car le temps de réponse devient beaucoup tro plong. C'est le graal de la recherche sur le cloud aujourd'hui.
Le cloud permet d'externaliser la puissance informatique, la capacité de stockage. Peut-on imaginer, à l'avenir, n'avoir plus besoin d'acheter des ordinateurs toujours plus puissants et des disques durs pour travailler et stocker ses données ?
Pas vraiment. Car il faut toujours un terminal pour présenter les données, avec un niveau d'ergonomie de plus en plus élaboré: réalité augmentée, 3D, etc. Beaucoup de traitements sont réalisés dans le cloud, mais la sophistication grandissante des interfaces exige de la puissance en local. De plus, l'informatique contextuelle, à l'avenir, exigera que l'ordinateur sache dans quelle situation se trouve l'utilisateur. On aura besoin d'interagir avec des systèmes de plus en plus intelligents. Le cloud viendra augmenter les capacités de son poste de travail.

Microsoft a vendu plus de 8 millions d'exemplaires de Kinects


LAS VEGAS, Nevada (Reuters) - Microsoft a annoncé mercredi avoir vendu plus de 8 millions d'exemplaires de son système de jeu à capture de mouvements Kinect dans le monde deux mois après son lancement, dépassant largement ses objectifs affichés.
Le premier éditeur mondial de logiciels s'était fixé pour but d'en écouler cinq millions à l'issue de la période des fêtes de fin d'année.
L'appareil, qui se raccorde à la console Xbox de Microsoft, permet aux joueurs de contrôler ce qui se passe à l'écran par des mouvements du corps et des commandes vocales, sans passer par une manette de jeu.
Au même stade de commercialisation, le groupe de Redmond fait mieux que Sony et sa Move, manette à détection de mouvements reliée à la Playstation.
Lancée deux mois plus tôt que la Kinect, la Move s'était vendue à 4,1 millions d'exemplaires après un délai similaire, chiffres qui ne prennent donc pas en compte le mois de décembre, particulièrement porteur pour le secteur et dont le système de Microsoft a profité à plein.

mercredi 4 avril 2012

Message de Amine Massili

viadeo

Bonjour,

Je vous invite à rejoindre mon réseau de contacts sur Viadeo.

Cordialement,

Amine Massili
Etudiant, FST Settat




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