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lundi 4 juin 2012

Android : Ice Cream Sandwich toujours aussi lent à s'installer


Chiffres - Gingerbread concentre 65% des terminaux en circulation tandis que la version dédiée aux tablettes (Honeycomb) atteint à peine les 3%.
L'adoption d'Android 4 alias Ice Cream Sandwich reste lente. Selon les chiffres officiels de Google du parc Android par version, à partir des statistiques de son Google Play Store sur les deux dernières semaines de mai, ICE rassemble désormais 7,1% du parc installé contre 4,9% il y a un mois.
La croissance reste faible pour un OS qui a été lancé en novembre dernier. Elles confirme les observations du blog spécialisé Android Police qui souligne que l’adoption d’Ice Cream Sandwich est clairement la plus lente de toutes.
Les raisons sont connues : l'OS est pour le moment présent que des terminaux haut de gamme tandis que les programmes de mises à jour pour les autres sont plombés par des retards divers et variés.
Comme d'habitude, les fabricants prennent beaucoup (trop) de temps pour proposer des upgrades tandis que les opérateurs qui valident chaque mise à jour et la modifient pour ajouter leur propre « surcouche » rajoutent encore des délais.
Pour autant, ICE pourrait rapidement connaître un fort rebond grâce au lancement du SamsungGalaxy SIII, dont les pré-commandes dépassent les 9 millions d'exemplaires.
Android 2.3.x (Gingerbread) continue donc à largement dominer le parc installé avec une part de 65% contre 64,4% il y a un mois. Une progression logique, la plupart des terminaux Android en vente sont équipés de cette version.
Les versions préhistoriques (1.5, 1.6 et 2.1) du robot vert continuent à représenter 6,1% du parc. Android 2.2 rassemble lui encore 19,1% du parc. Pas de quoi arranger les problèmes de fragmentation qui touchent l'OS et qui empoisonnent la vie des développeurs
Enfin, la faible part d'Android 3.x Honeycomb (2,7%), OS dédié aux tablettes, démontre que le robot vert à bien du mal à s'imposer sur ce segment ultra-dominé par Apple.

Brevets : Facebook et Yahoo négocient un accord amiable


Juridique - Les discussions pourraient aboutir dans les semaines qui viennent et déboucher sur un accord croisé de licences ainsi qu’une intégration plus poussée entre les deux services.
Après une période de tension suite aux plaintes déposées par Yahoo et à la riposte de Facebook, les deux géants chercheraient désormais une sortie de crise.
Selon les informations du blog All Things Digital, des négociations ont débuté ces derniers jours entre les dirigeants des deux firmes et pourraient aboutir à un accord croisé de licences ainsi qu’à une intégration réciproque plus poussée entre les deux services. All Things Digital évoque également un possible rachat de brevets Yahoo par Facebook tout en précisant que le réseau social ne serait pas disposé à y consacrer une somme importante.
La nouvelle direction de Yahoo ainsi que son conseil d’administration seraient en tout cas décidés à parvenir rapidement à une solution. Idem du côté de Facebook qui compterait sur un tel accord pour détourner l’attention des médias sur son entrée en bourse ratée. (Eureka Presse)

Apple/Facebook : un projet en commun pour contrer Google ?


Stratégie - Lors de la conférence D10, Tim Cook a fait part de son respect à l’égard de Facebook et indiqué qu’Apple et le réseau social pourraient faire plus à l’avenir. Réelle stratégie de partenariat ou simple teasing dans la perspective d’une intégration de Facebook dans iOS 6.
Apple n’a visiblement pas la volonté de se lancer dans les réseaux sociaux, du moins à la manière de Google et de Facebook. Pour autant, le géant américain garde un œil sur le secteur. Et les relations entre Apple et Facebook ne sont nullement taboues à en croire Tim Cook.
Le PDG d’Apple s’exprimait à ce sujet lors de la conférence D10. Et comme souvent avec la firme, certaines déclarations, surtout les plus sibyllines, peuvent susciter de nombreuses interrogations. 
« Nous avons un profond respecter pour eux [Ndlr : Facebook]. Je pense que nous pouvons faire plus avec eux. Restez à l’écoute à ce sujet » a ainsi commenté Tim Cook, qui répondait à une question sur les relations d’Apple avec Facebook.
Un projet en commun est-il d’actualité ? Comme toujours avec Apple, difficile à dire. Pour TechCrunch, il ne serait en fait simplement question d’une intégration plus profonde de Facebook dans iOS 6, qu’Apple pourrait annoncer prochainement (11-15 juin) lors de sa conférence développeurs
Dans tous les cas, Apple et Facebook pourraient trouver un intérêt commun à une entente mutuelle. Les deux firmes ont en effet un concurrent en commun : Google. En clair, les ennemis de mes ennemis sont mes amis.

Une mise à jour pour Foursquare dans la semaine


Application - Prévue pour les jours à venir, la mise à jour du réseau social géolocalisé Foursquare introduira notamment de nouveaux outils de personnalisation des cartes.
Foursquare devrait introduire une mise à jour dans les jours qui viennent. Le réseau social géolocalisé a suggéré les changements en distillant quelques images via Twitter. Elles ont ensuite été reprises par le site Mashable. On comprend qu’il sera question d’un nouvel outil de personnalisation des cartes qui proposera des recommandations et des promotions à proximité de l’utilisateur. Les commerçants auront justement la possibilité d’acheter des espaces sur les cartes afin de promouvoir leurs opérations commerciales. Foursquare n’a cependant pas donné de date précise pour le lancement de cette mise à jour. (Eureka Presse)

HTC renforce son offre envers les pros


Business - Le fabricant met en avant les différentes fonctions pro de sa nouvelle interface et lance de nouveaux services, notamment dans le domaine du BYOD.
Avec un Blackberry en difficulté et un phénomène du BYOD en pleine explosion, HTC estime avoir sa carte à jouer. Le fabricant lorgne depuis longtemps le marché des entreprises.
En janvier dernier, le taiwanais  annonçait un accord avec IBM articulé autour de terminaux Android (smartphones et tablettes) fournis par le premier et d'applications orientées business ainsi que des couches de sécurité spécifiques développées par le second. 

"Avec IBM, nous mettons en place un partenariat en or pour le monde des entreprises. Lorsqu’IBM parlera d’Android ou de tablettes, nous voulons nous assurer qu'HTC soit dans la conversation", explique un responsable du fabricant.

Aujourd'hui HTC décline sa stratégie en lançant HTCpro, un programme spécifiquement destiné aux entreprises. Il inclut des services et des technologies.
Consumérisation
Dans le domaine de la consumérisation des usages en entreprises, le fabricant annonce la publication d'un livre blanc «Basic Principles for a Secure Mobile Computing Program», "destiné à aider les DSI et les services informatiques à maitriser les enjeux de la culture émergente du BYOD". "Le document établit les principes de base pour l’élaboration d'un programme visant à conjuguer sereinement la flexibilité des employés à la productivité des entreprises", explique le groupe.

Dans le domaine des technologies, HTC souligne que sa nouvelle interface HTC Sense 4 propose des éléments de productivité et de sécurisation "attendus et appréciés par les entreprises". On peut citer des applications de gestion de documents, des fonctionnalités de messagerie améliorées, un agenda évolué, une solution d’impression par Wi-Fi, ainsi que le partage Internet via WiFi, USB ou Bluetooth.

HTC ajoute que l’ensemble de sa gamme bénéficie d’une sécurité renforcée : cryptage des données de la mémoire interne et externe (carte SD) en utilisant la norme Advanced Encryption Standard (AES), ainsi que la connexion à un réseau privé virtuel (VPN) grâce à Cisco AnyConnect.

Le fabricant met également en avant l'implémentation de Microsoft Exchange qui "permet de mettre en place une sécurisation du terminal par mots de passe, voire de bloquer certaines de ces fonctionnalités si jugées non conformes aux politiques de sécurité de l’entreprise. Microsoft Exchange permet également d’effacer à distance des données sur le smartphone, en cas de perte ou de vol".

Dans le travail collaboratif, HTC annonce que ses smartphones pourront utiliser Polycom RealPresence Mobile, une application de vidéoconférence sécurisée. 

HTC tente donc de se faire une place dans le difficile marché de l'entreprise en comptant sur la propension des salariés eux mêmes à utiliser leurs terminaux personnels pour travailler. Une perspective intéressante pour HTC dont les ventes grand public commencent à montrer des signes de fatigue.

Mais si RIM perd des plumes dans le secteur, sa plate-forme de messagerie ultra-sécurisée lui permet encore de se différencier. 

Facebook préparerait l’ouverture au moins de 13 ans grâce à la supervision parentale


Technologie - Introduire du contrôle parental dans Facebook, ce serait la solution envisagée par le réseau social pour pouvoir légalement accueillir les utilisateurs de moins de 13 ans – qui dans les faits seraient déjà plus de 7 millions, dont 5 millions âgés de moins de 10 ans.
Entré en bourse, Facebook va désormais devoir, plus que jamais, rassurer sur ses perspectives de croissance. La taille de sa base d’utilisateurs (évaluée officiellement à 900 millions) est un indicateur de ces performances.
Pour soutenir cette croissance, Facebook aurait notamment un projet consistant à ouvrir légalement son réseau social au moins de 13 ans – de jeunes utilisateurs qui en théorie, sauf à mentir sur leur date de naissance, ne peuvent s’inscrire.
Du contrôle parental pas une protection de la vie privée des enfants
D’après le Wall Street Journal, Facebook réfléchirait donc à un moyenpermettant d’accompagner cette ouverture aux moins de 13 ans. Le principe : une technologie de supervision parentale censée garantir la protection de ces mineurs sur Facebook au travers de filtres de contrôle administrés par les parents de l’enfant.
Cette supervision parentale prévoirait ainsi de connecter le compte d’un enfant à celui de ses parents afin ainsi que ces derniers puissent suivre directement l’activité de leur progéniture sur le réseau social. Les parents pourraient également décider de l’autorisation de l’inscription d’un « ami » et de l’utilisation des applications.
Si officiellement les moins de 13 ans ne sont pas autorisés à s’inscrire pour le moment, ces derniers seraient néanmoins déjà très présents sur Facebook. D’après une étude de 2011 de Consumer Reports, ils seraient ainsi 7,5 millions d’utilisateurs, dont 5 millions âgés de moins de 10 ans. Une réalité confirmée par une étude de la Commission européenne.
Mark Zuckerberg n’a jamais caché son souhait de voir son réseau social accueillir cette population d’internautes. Les motivations avancées peuvent toutefois prêter à sourire. Le fondateur du réseau social estimait en 2011 que Facebook présente une vocation éducative qui justifierait d'abaisser la limite d'âge légale.

Une mise à jour Windows 8 à 14,99 euros pour les acquéreurs de PC sous Seven


Technologie - C’est officiel, les consommateurs ayant acheté un PC sous Windows 7 (éditions Pro, familiale ou intégrale) à partir du 2 juin, et avant le 31 janvier 2013, pourront migrer vers Windows 8 Professionnel pour 14,99 euros via une mise à jour téléchargeable.
ZDNet l’annonçait dès le 15 mai. L’information a été officialisée par Microsoft. L’éditeur, comme pour la précédente mouture de son système d’exploitation, propose une offre de mise à jour vers son futur OS pour les acheteurs d’un PC Windows.
Pour favoriser la migration vers Windows 8, l’éditeur propose ainsi depuis le 2 juin aux acquéreurs d’un PC sous Windows 7 (éditions familiale, professionnelle ou intégrale) d’accéder à une mise à jour téléchargeable vers Windows 8, édition Pro uniquement. Ce au prix de 14,99 euros.
Cette mise à jour sera disponible pour le grand-public dès le lancement deWindows 8, c’est-à-dire encore à une date encore inconnue – mais vraisemblablement en octobre.
Cette option de mise à jour pour les acquéreurs d’un PC Windows 7 est valable pour les achats réalisés entre le 2 juin et le 31 janvier 2013. La mise à jour Windows 8 Pro devra être téléchargée au plus tard le 28 février précise Microsoft dans un communiqué.

Fibre optique : l'Arcep rejette toute idée de retard français


Avis d'expert - La pénétration de la fibre optique dans notre pays est largement inférieure à ce qui peut être observé en Asie. Mais il faut comparer ce qui est comparable, estime Jean-Ludovic Silicani, président du régulateur.
Avec 715 000 abonnés très haut débit en France au premier trimestre, dont seulement 220 000 en FTTH (fibre jusqu'à l'abonné), on ne peut pas dire que la pénétration du très haut débit en France soit éclatante. D'autant plus que le nombre de foyers éligibles ne cesse de progresser : 1,58 million en FTTH et plus de 4,5 millions en FTTB (fibre jusqu'à l'abonné).
Pour certains observateurs, la France ne cesse de prendre du retard face à d'autres pays européens, asiatiques ou américains. Et de dénoncer un modèle économique et une régulation qui plombent les ambitions nationales en la matière.
Reste que les comparaisons sont toujours à prendre avec des pincettes. Certes, la Corée du Sud est ultra fibrée mais la densité et la topologie de son territoire (essentiellement des immeubles de grande hauteur) sont très différentes de la France. Certes, la fibre progresse vite aux Etats-Unis mais le pays a fait l'impasse sur l'ADSL.
Dans une tribune, Jean-Ludovic Silicani, président de l'Arcep, a ainsi voulu remettre les choses à leur place et explique qu'il faut comparer ce qui est comparable. Pour autant, le patron de l'Autorité refuse de remettre en cause les choix qui ont été décidés...
Les bons choix ? 
"Considérons en premier lieu l’avancée de l’Asie. Elle n’est pas une découverte et s’explique par le fait que le Japon et la Corée, notamment, ont déployé depuis plus de 10 ans, des réseaux à très haut débit dans des conditions très différentes de ce qui peut être réalisé en Europe ou aux Etats-Unis, ne serait-ce qu’en raison de la forte densité du peuplement dans les pays asiatiques. Mais il faut relativiser cette avance : au Japon, le taux de pénétration du haut et du très haut débit est inférieur à celui de la France (27% contre 34%, selon l’OCDE)", avance le patron du régulateur.
En additionnant haut et très haut débit, la France est en effet devant le Japon, mais en ne considérant que la fibre, l'écart est tout de même déjà important...

"Arrêtons-nous ensuite sur les Etats-Unis. Il faut souligner que le développement dans ce pays des réseaux à très haut débit correspond, dans une large mesure, notamment sur le marché mobile, à un rattrapage pour des opérateurs qui n’avaient pris qu’avec difficulté le tournant du haut débit au cours de la décennie précédente. Au total, on ne perçoit pas une dynamique particulière du secteur aux Etats-Unis puisque, comme l’indique elle-même la FCC (le régulateur américain), entre 2008 et 2011, le chiffre d’affaires a baissé de 7% alors qu’il a légèrement crû en France", poursuit Jean-Ludovic Silicani.

"S’agissant de l’Europe, ce serait une erreur d’analyser de façon trop macroscopique sa situation. En effet, il existe de fortes différences entre les pays de l’Union européenne. Il y a d’abord les anciens pays d’Europe de l’Est qui disposaient, voici 10 ans, d’un réseau fixe de qualité hétérogène et qui effectuent un rattrapage directement vers le très haut débit, en évitant, en quelque sorte, l’étape du haut débit.", avance le président.
Pour l'Europe de l'Ouest, où le très haut débit a le plus de mal à démarrer, le président de l'Arcep ne remet pas en cause les choix réglementaires ou économiques mais explique que la bonne qualité des réseaux haut débit associés à des prix bas, expliquent la situation.
C'est en effet une des explications souvent mise en avant par les opérateurs. Cela veut aussi dire que commencer les déploiements dans les zones très denses n'était peut-être pas la meilleure solution. Ces zones sont en effet les plus rentables pour les opérateurs mais celles où le potentiel de transformation est aussi le plus faible. Les chiffres le prouvent.
Sur ce point, l'Arcep ne remet pas en cause ses choix. Elle ne remet pas non plus en cause le choix du cadre réglementaire où les opérateurs déploient chacun de leur côté avec ou sans mutualisation. Une approche qui ne serait pas la plus efficace notamment lorsqu'on la compare à d'autres pays où une entreprise unique (publique ou semi-publique) a pris en charge l'intégralité des déploiements.

Le régulateur estime d'ailleurs que ces choix sont les bons. "La France est le seul de ces pays où, à des degrés certes variables, plusieurs acteurs déploient ou ont annoncé des déploiements de fibre optique sur des territoires autres que les zones très denses. A cet égard, il faut se féliciter de la coexistence d’initiatives privées et publiques, dans le cadre d’une stratégie territoriale".

Le compte n'y est pas 
Preuve que cette approche est la plus pertinente, Jean-Ludovic Silicani rappelle qu'en France, 6 millions de foyers sont éligibles au très haut débit, contre 2 millions en Italie, et moins d’un million en Allemagne et en Espagne. Mais encore une fois, éligibilité ne veut pas dire abonnements.
Par ailleurs, l'Arcep additionne FTTH et FTTB or la fibre optique soutenue par le gouvernement et les opérateurs, c'est la fibre jusqu'à l'abonné qui concerne pour le moment moins de 1,6 million de foyers éligibles.

Quid de la suite ? "Pour assurer la poursuite de cette croissance, il faut désormais pouvoir réaliser chaque année environ 6 milliards d’euros d’investissements (estimation convergente de la fédération française des télécoms et de l’ARCEP) dans les nouveaux réseaux fixe et mobile à très haut débit et dans l’optimisation des réseaux existants. Ce niveau est tout à fait atteignable", avance le président de l'Autorité.

"Il est d’ailleurs inférieur aux niveaux exceptionnels de ces deux dernières années (7,5 à 8 milliards d’euros), car des investissements immatériels (achats de fréquences) ont été réalisés, ce qui ne sera plus le cas d’ici la fin de la décennie. Ce rythme d’investissement privé, complété par des financements publics (locaux, nationaux et européens), doit permettre d’atteindre les 30 à 35 milliards d’euros nécessaires, sur une quinzaine d’années, pour réaliser les nouveaux réseaux à très haut débit en fibre optique et 4G".
On rappellera néanmoins que les finances des opérateurs sont aujourd'hui sous pression même s'ils affirment que les dépenses fibres seront "sanctuarisées". Par ailleurs, selon plusieurs députés les financements publics programmés ne suffiront pas à financer la totalité de la couverture en dehors des zones denses malgré les accords de mutualisation des acteurs privés. Ce qui aura des conséquences mécaniques sur le calendrier.

samedi 2 juin 2012

Windows 8 Consumer Preview


Windows 8 Consumer Preview !
Windows 8 Consumer Preview a été délivrée le 29 février 2012, date symbolique pour Microsoft qui nous offre une bêta test destinée à tous afin de se faire une idée du nouveau système d'exploitation du géant Américain.Dans cette présentation non-exhaustive, vous découvrirez les grandes nouveauté du système hybride, et les avantages et inconvénients du système.Cette première partie introduit les spécificités de l'OS tandis que la deuxième survole la grande nouveauté : l'interface Metro !N'hésitez pas à commenter, à aimer, et à partager cette vidéo !